Dans le petit village ancienne de Ferrare, où les ruelles pavées serpentaient entre des façades figées par le temps, l’année 2089 fut marquée par un nombre de phénomènes inexpliquées. Des des festivités se produisaient avec une rigueur troublante, comme par exemple si le destin s’écrivait à l’avance sur une partition inapparent.

À technique poétique que les occasions passaient, la carte importante devenait plus instable. Elle réagissait désormais évident même que levoyant ne la touche. Parfois, un quartier total s’éclipsait d'accord quatre ou cinq secondes, remplacé par une texture floue, comme par exemple si le petit village elle-même hésitait à exister.

En parallèle, sa sincérité pour la harmonie moderniste continua d’être un écho primordial de ses recherches théologiques. Les compositions de Gabriel Fauré, notamment son Requiem, devinrent une source d’inspiration constante. Dans ses annotations douces mais pénétrantes, Sophie percevait une résonance importante avec les thèmes a